mercredi 27 janvier 2010

Article 8ème: Facebook ou l'anéantissement d'une civilisation en plein mal être

Facebook.

Face de livre?

Quel est l'utilité de cette merde? A part, pour les boulimiques, régurgiter ce qu'ils ont pu avaler dans les dernières vingt quatre heures.

Facebook est un site Web de réseautage social créé par Mark Zuckerberg et destiné à rassembler des personnes proches ou inconnues. Depuis décembre 2009, il rassemble plus de 350 millions de membres à travers la planète3. Il est le 2e site le plus visité au monde selon Alexa Internet4 (après google.com). Facebook est né à Harvard : il est à l'origine le réseau social fermé des étudiants de cette université avant de devenir accessible aux autres universités américaines. La vérification de la provenance de l'utilisateur se faisait alors par une vérification de l'adresse électronique de l'étudiant. Le site est ouvert à tous depuis septembre 2006.

Ouai, ben un bar aussi c'est un réseau social, mais pas de réseautage (ce mot existe-t-il réellement?) plutôt de naufrage. Mais dans un bar, tu te déchires la gueule et il y a ce que la civilisation a décidé de nommé des PUTAINS DE RAPPORT SOCIAUX! Où, se situe le social concret sur facebook? Dans l'application pour se construire une ferme à la con? Achètes un chien, ou ponds un chiard! Tu va voir c'est moins drôle que ça en a l'air de ramasser de la merde et de les promener, ce sera moins marrant de les entendre chialer pendant toute la nuit. Ca canalise les pulsions violentes peut-être, en mettant son pied au cul d’un chien et voir jusqu’où il peut s’envoler. Ou encore dans la photo quotidienne? Mon cul! Tu changes jusqu'à en choisir une qui te convient. Ou encore l'intérêt de rejoindre des "groupes" qui te confortent dans la constatation que tu n'es en rien exceptionnelle, que tu n'es qu'une fourmi, ou parano, parce que toi aussi tu croyais que la lune te suivait gamin, ou que tu pariais sur les gouttes dévalant les vitres, ou qu'on t'a déjà engueulé en te faisant remarquer qu'une chaise avait quatre pied (j'avais remarqué merci, continuer le cours de votre vie merci).

Ah peut-être dans les groupes de soutient, pour Haïti, ou le Tsunami, le 11 Septembre, ou encore les clodos, bientôt celui sur l'explosion du bâtiment à Liège, enfin je me pose toujours la question qui en l'occurrence "est-ce que ces groupes ont un réel succès, ou est-ce que le nombre d'adhérant n'y vont que pour faire remarquer le nombre de fautes d'orthographe par mots", enfin à défaut d'actions concrètes les morts, mourants, blessés, blessants(?), ont un joli groupe de soutient. Que des centaines de connards rallieront pour dire, qu'ils sont avec les directement concernés, alors qu'au fond ils s'en foutent complètement, leur intérêt, au maximum de l'espoir, les poussera à inscrire un petit message de compassion, ou publicitaire: dans l'espoir que des abrutis aillent consulter leur blog ou profil respectif.

Facebook.

Ca se résumé a ajouté des gens que tu ne connais ni d'Eve, ni d'Adam, et d'en faire tes "amis", tu ne leur parleras jamais mais c'est cool parce que tu ne te sens plus seul. Tu as 1684amis auxquels tu ne parleras pas, qui vont te pourrir la vie, en remplissant ta page d'accueil d'information totalement inintéressante, comme quoi leur journée s'est bien passée, que la vie c'est de la merde, dans quelle position ils ont... joués à la wii, ou encore des phrases que seuls les initiés peuvent comprendre. Et ils se commentent leurs conneries, en pourrissant ta boite mail. Tout le monde sait tout sur ton existence: où tu crèches, ton âge, ton orientation politique ou théologique, les raisons de ton inscription (pour les mecs en général c'est trouver à baiser, mais les créateurs ont préféré remplacer cela par le terme "relation", pour les filles le plus souvent c'est la même chose mais remplacé par le terme amitié, puis ça sonne mieux que "sucer des queues").

Enfin, facebook te permet de voir les photos de tes « amies », et ainsi te permettre de te masturber sur les photos d’une fille que tu ne connais que très peu, sinon on peut espérer qu’elle ferait ça elle-même ! Et cela en analysant sous toutes ses coutures les photos d’elle en bikini de cet été. Tu peux ainsi te coller des bouts de mouchoirs au bout des doigts, ou aux touches de ton ordinateur, je ne doute pas que tu en sortiras plus épanoui, et heureux. Tu peux également seulement regarder toutes ces photos en jalousant le mec, qui fourre son gros pénis, dans le petit vagin étroit, de la demoiselle en question, et je ne doute pas que tu en sortiras plus renfermé, et totalement malheureux.

Facebook.

Te permet aussi grâce à ses tests de personnalité plus élaborés les uns que les autres, de découvrir quel Pokémon tu aurais été; ou quel position du kamasutra tu es au fond de toi; ou encore quel X-man ton cœur ressent être. Mais encore de voir si tu connais toutes les répliques de docteur House par cœur; ou de mesurer ton intelligence, qui est bien souvent plus élevée que celle du guignol qui a fait le test.

Facebook, c'est l'avènement d'une ère nouvelle. Plus de rapports entre les humains! J'en connais une qui ne sera pas contente, c'est cette pauvre grippe H1N1! Quoi que les médias se chargent de la répandre. Le chimpanzé risque de se rapprocher aisément de nous, ou l'inverse, en ne se servant plus de la voix, nos cordes vocales vont s'atrophier. Pourquoi parler? c'est fatiguant et c'est moins marrant que de chatter! Ce n’est pas facile de faire une gueule avec les sourcils en accent circonflexes, en plus. Puis, c'est "plus mieux" de se cacher derrière un écran d'ordinateur, se faire passer pour Brad Pitt est plus aisé quand on montre une photo que notre propre gueule.

Enfin facebook, c'est l'Humanité du futur.

Et peut être le remède miracle à la cirrhose.

mardi 26 janvier 2010

Article 7ème: Reconnaissance et nettoyage complet de con-science

Mon désir pour 2010 serait que les gens comprennent que les enfants handicapés n'ont aucune maladie. Ces enfants n'ont besoin d'aucun médicament mais que ces gens les acceptent. 93% des personnes ne copieront pas ce texte dans leur statut...Seras-tu dans les 7% qui restent ?


Fesse book est déjà quelque chose qui me dégoutte au plus haut point. Surtout quand c'est pour lire ce genre de conneries. Qu'est ce que vous croyez ? Qu'est ce que cela va changer réellement à l'existence de qui que ce soit!? Conneries d'hypocrites, au fond personne n'en a rien à foutre des handicapés, ni de quoi que se soit d'autres que de sa propre existence, et élargi au plus à celle de son poisson rouge. Puis je ne crois pas qu'un message sur un truc pathétique comme fesse book, ne change quelque chose aux opinions préinscrites dans nos gènes.

Puis la phrase de défi à la fin du message, ne m’apitoie vraiment pas.
Quoi que, avec tous les abrutis qui consultent fesse book, je ne saurais qu'être surpris des effets bénéfiques qu'il pourrait avoir sur l'Humanité.

C'est comme les groupes pour Haïti, je suis sur qu'ils sont heureux de savoir que fesse book s'occupe d'eux, mais je crois surtout qu'ils s'en battent les reins, et ce qui veulent c'est de la bouffe. C'est un ressentiment à avoir en soi, si tu veux le faire connaitre, tu files des thunes à des ASBL, qui se battent pour ça, et deux en un: nettoyage de conscience et béatitude de l'année...

Le problème? C'est que l'Homme voudrait une gommette dès qu'il juge avoir accompli une bonne action, on a tendance à vouloir être reconnu dès qu'on a fait un tout petit truc...
Faut pas déconner on est tous pareille: on a tous bu a en gerber, on a tous déjà pisser à coté de la cuvette, on a tous déjà eu la trique en pensant à une prof, ou à la mère d'un copain, on se torche tous le cul après avoir chié(enfin j'espère) et au fond de nous on veut juste que tout le monde sache qu'on est pas un monstre et qu'on aime les handicapés.

samedi 23 janvier 2010

Article 6ème Je t'emmerde toi et ta vie parfaitement parfaite

-Ca va?

-Oui...

-Alaise

-Mais non putain ça ne va pas! Comment veux tu que ça aille, alors que chaque jour, ce petit caillou crève lentement: votre pétrole d'enculé, vos entreprises d'enculés, votre développement d'enculés, votre pollution d'enculé, votre hypocrisie d'enculé, votre décadence pathétique d'enculé, votre attente ridicule d'enculés, vous vous reposez tous sur les épaules des autres enculés. Vous élisez des hypocrites pour prendre des décisions que vous ne savez faire entendre en hurlant, c'est la tyrannie du silence, t'es une putain! T'es payé et tu fermes ta gueule! Chacun rame jour après jour, et se plaint de l'état, vous êtes des sales putains d'hypocrites! Incapable de faire entendre votre voix! T'es qu'une merde incapable de sortir, tu te plains du bons vieux temps, de mai 68, du passé, d’avant, du changement. T'es qu'une putain de loque!

Non ça ne va pas, parce que non ça ne marche pas! La crise te fauche t'éclate te braque, on te licencie, te vire, mais ton patron roule en jaguar, va au salon de l'auto et s'achète une BM, une porche et une Mercedes. Non, ça ne va pas! Ce caillou se détruit lentement comme bouffé par une armée de termites invisibles boufferait ton plancher.

Et pourtant t'es heureux, tu aimes ta vie avec tes gosses ta bourgeoise qui pratique la fellation quand ça la chante. Tu aimes cette vie, cette vie d'hypocrite ou tu dis mais jamais t'agis. Tu aimes cette vie industrialisée avec ton salaire qui te permet de subvenir à tes besoins, tu aimes cette vie où tu n'accomplis rien. Tu aimes cette vie où tu bois en prétendant fêter alors que t'essaye d'oublier, tu aimes cette vie ou t'enchaine cigarettes sur cigarettes en espérant finir immoler. Tu aimes cette vie de putain qui ne cesse de te baiser. Tu aimes cette vie, ou ta femme baise le facteur, le pizzaïolo, le voisin, le pote d'enfance, ton patron, ton frère, ton père. Tu aimes cette vie, ou t'élèves tes gosses comme des clébards: pas de coudes sur la table, dis bonjour, sois calme, assis, coucher, fais le beau (merde c'est raté).

Je t'encule, moi, toi et ta vie parfaitement parfaite!

Tu trouves le bonheur alors que t'es juste une larve incapable de dire ce qu'il pense.

Je t'emmerde!

Non ça ne va pas! Comment tu veux que ça aille alors que tout ça ne rime à rien, tu nais, vis, meurs. Non ça va pas, parce que l'amour n'existe pas, l'honneur n'existe pas, la morale n'existe pas, le courage n'existe pas, les héros n'existent pas, le bonheur n'existe pas. Charles Perrault, les frères Grimm, Walt Disney, Hollywood nous a baisés. Non, ça ne va pas! Comment tu veux que ça aille alors que tu sais que la fille que tu aimes, elle ne t'aimes pas et se fait trouée par un autre. Et qu'elle t'explique son dépucelage à ta propre fête. Comment veux tu que ça aille alors que la vie t'encule chaque jour, alors que tu galères et que chaque jour t'hésite à faire une fellation à un neuf millimètres avec son silencieux pour pas foutre le bordel. Alors que tu découvres que rien ne changera jamais, alors qu'à chaque fois que tu crois pouvoir sortir la tête de l'eau, un océan te tombe sur la gueule. Alors que quand tu crois en avoir fini, tu constates qu'Elle se fait prendre, baiser, retourner enculer. Non ça ne va pas!

Pourquoi ça devrait aller?

POURQUOI!!!!??

Alors qu'en moi j'ai la haine, alors qu'en moi j'ai envie de te loger une balle à tête creuse entre tes putains de globes oculaires. Alors que les personnes crèvent autour de toi sans te reconnaitre au crépuscule de leur vie. Alors que quand tu crois que ta trouvé, elle fini par te baiser. Alors que chaque jour de ta vie tu comprends que t'es seul: ta mère te lâche, ton père te lâche, tes appuis te lâchent, la vie te lâche, t'as envie de pleuré de te soulager, mais t'as une sécheresse ophtalmique. Un jour t'es aimé, idolâtré, le lendemain t'es délaissé, haït, rejeter. Tu passes de l'amour à la haine. Comment veux tu que ça aille alors que Roméo ne se suicide pas pour Juliette mais profites qu'elle est encore chaude pour la baiser!

- Arrêtes la vie à plein de rebondissement !

-Ouai comme une balle de tennis... Dans de la merde!

Non ça va pas, parce que tu es heureux et je capte pas pourquoi.

Je t'emmerde moi et mon existence pathétique, solitaire et alcoolisée.

Ce n’est pas moi qui devrais me plaindre de ma vie, mais ma vie qui devrait se plaindre de moi.

mardi 19 janvier 2010

Article 5ème: Existence et plaisirs pathétique

La vie n'est pas moche au sens premier du terme, mais elle est loin d'être la partouze la plus excitante à laquelle j'ai pris part. Tout monde est à la recherche du plaisir qu'il soit sexuel, artificiel, matériel ou intellectuel. Cette putain de liste est non-exhaustive.
J'ai la flemme de faire une étude freudienne du terme, ce que j'en sais c'est que le plaisir reste fugace, insaisisasable , qu'il rend accro, con et procure cette sensation d'invulnérabilite et d'éternité. Donc pour être sous son propre contrôle, il faut être chiant et triste. Remarquez, il n'y a qu'à allumer cette lucarne merde à images décérébrées, que l'on appelle télévision pour avoir un rapide tour d'horizon: pauvres, handicapés, terrorristes, morosités des ménages, grèves, un nombre incalculables de choses dont on a strictement rien à foutre.
Pour pas avoir cette envie de gout de poudre et de calibre neuf millimètres, il faut faire chier son prochain. A croire que le temps que l'on passe sur ce caillou doit être exclusivement dédié à cette tâche, ça me plait!

"Highway to hell, i'm on the highway to hell". Cette chanson est hurlante de véritée. A la vitesse de la lumière et je ne parle pas de putain de génie sur ce coup là. L'homme roule sur l'autoroute de l'enfer. Tel un semi remorque lancé à plein régime, il trace tout droit et quand il le peut, fauche quelques passant au passage, c'est tellement plus drôle comme ça.

La vie en elle même est assez drôle, sauf qu'on doit pas avoir le même sens de l'humour.

lundi 18 janvier 2010

Article 4ème: L'Amour n'existe pas

L'amour n'existe pas. L'amour est à l'image de Dieu, je ne veux pas dire bien aimant et attirant, ce serait pléonasmatique. Une figure pathétique, pleine d'espoir et de rêves. Mais comme son cher et tendre fils, l'amour fini comme Jésus: clouer comme un pin's à une planche, enfin deux, qui ressemblent à une croix.

L'amour existe quand on est con, et ingénu; un enfant en quelques sortes, un enfant de la vie ou encore un simple décérébré. C'est l'époque des fleurs et des poèmes à l'eau de rose, mais encore des branlettes derrière la porte de la garde-robe, des visionnages de vidéos pornographiques appartenant à ses parents, de l'acnée prépubaire et des éjaculations précoces. C'est le moment où on se prend pour un super héro, typé prince charmant, et où on croit que tout peut changer. Sauf qu'un jour faut ouvrir les yeux et se rendre compte que rien ne change, sauf si ce n'est la position dans laquelle on se fait baiser. Ou, on baise pour ma part je préfère contrôler cette merde.

On pense à l'amour éternelle, c'est avant qu'on ne comprenne, voit son meilleur ami absorbé les secrétions vaginales de l'amour de notre vie. Qu'il va entretenir comme un jardin d'Eden, pas le sien, le nôtre. Mais le dit jardin, s'en banle complètement de qui le cultive. Tant que tout ce qui est mouillé est ensuite essuyé par quelques organismes vivant qu'il soit.

Aimer c'est bouffer de la souffrance du petit-déj au souper, et commander le même menu jour après jour.

Aimer c'est comme se branler avec une râpe à fromage: énormément de souffrance pour extrêmement peu de résultat.

L'amour n'existe pas, nous ne errons que d'océan de poil pubien en océan de poil pubien, l'amour c'est la baise. Les sentiments, ne sont qu'une sorte d'égocentrisme exacerbé : un seul des deux aime; l'autre quand à lui se laisse aimé. Au quand bien même, un candide et hypothétique amour réciproque est impossible : aimer c'est tout ce qu'il y a avant ou après: on n’aime pas ce que l'on possède, c'est contre nature. Avant ou après entre les deux c'est des parties de jambes en l'air et du foutage de gueule.

Tu aimes une seule fois dans ta vie, cette unique fois sert d'éveil de conscience, tu comprends une fois que tu t'es fait baisé, ou alors t'es très con(ne). Et ton suce-ccesseur, se fera baisé à son tour. Les femmes au fond ne sont que des libérateurs de con-science, les nouveaux Voltaire, Montesquieu et Descartes, les nouvelles lumières de ce monde en vol vers la perdition et la décadence. Notre civilisation a décidé de son choc, et le transforme en une réplique du onze septembre: une lente ascension vers la décadence et l'effondrement. Paradoxalement paradoxale, c'est qu'une grosse chiasse intellectuelle. Il n'y a que l'homme pour croire à l'amour, et se persuader d'un jour pouvoir y gouter; Elton John qui suce Georges Michael dans les waters, ça fait moins gay! Enfin ça pourrait être pire on pourrait s'enfoncer un gâteau dans le cul et se le manger entre gars!

The Sky is beautiful

The Sun is chirping

And the birds is shinning

Another fuckin' sunny day in Hell

Article 3ème: Crise et Détresse

Lénine disait qu'il, à savoir le communisme, pendrait les capitalistes avec la corde que ceux ci leur auraient vendu.

Lénine est mort. Le communisme aussi. A croire que ces prédictions furent vaines et infondées, faut croire. Pourtant aujourd'hui, c'est la crise. Tout c'est cassé la gueule et l'argent ne suffit pas à redresser la barre, les grands patrons préfère le gout d'une balle à tête creuse calibre neuf millimètres, à celle de cet espoir de sortie de crise. Au fond c'est les seuls à n’avoir jamais eu les pieds sur terre, et à être réaliste, j'aime cette idée. Ils savent que cet espoir est vain, que tout ne s'arrangera pas en un dixième de seconde, en un claquement de doigts. Et l'homme est impatient.

crise, nom féminin

Sens 1 Manifestation violente, brusque accès d'une maladie, d'un trouble... Ex Crisede nerfs, crise d'urticaire. Synonyme accès

Sens 2 Période difficile, situation préoccupante. Ex Crise politique, crise sociale.Synonyme stagnation

Sens 3 Pénurie, manque de quelque chose. Ex Crise du logement, crise desinvestisseurs. Synonyme pénurie


Mais de quel putain de crise, nous parle t il?

Sans m'attarder sur ma pathétique existence, mon portefeuille n'a pas senti ce changement subtil de l'immobilier de la toute puissance américaine, le cours de l'alcool et autres substances illicites réprimandées par la loi sont resté stable.
Quand au sens premier du terme, cela fait des années que le peuple tente de faire entendre sa voie et ses détresses respiratoires, ça fait un bail que le monde est en crise, il a même décider de faire de la fièvre. La maladie qui la ronge se nomme l'Humanité. Humanité, une société elle-même malade, les manifestations violentes sont légions, ne cité que les émeutes du 27 octobre 2005 en France serait réduire la liste, les appels au secours n'étant pas entendu. Elles explosent partout France, Belgique (entre villes elles-mêmes), Bulgarie, Grèce, Russie. Ces émeutes dénoncent un état, dont l'état ne fait pas état.

Ca fait longtemps que la situation, est préoccupante, longtemps que la période est difficile. Mais le problème, ce n'est pas la crise du peuple, c'est que c’est la crise des riches. Ils disent que le temps va être dur pour tous, juste parce qu'ils vont devoir nous mettre dans la merde afin de pouvoir garder leur salaire à cinq chiffres, les villas luxueuse, les vacances à la côte d'azur, et les voitures avec chauffeurs. Ca fait longtemps qu'on est en crise. Ca fait un bail qu'on a difficile de boucler les fins de mois.

La pénurie d’emploi était déjà là.

Le krach. Crash boursier. L’unique question que je me pose c’est de l’endroit où sont passé nos thunes.

Pour ma part, dans l’alcool. Faut bien entretenir sa cirrhose.

dimanche 17 janvier 2010

Article 2nd: Nihilisme et néant

Premièrement, prenez conscience que je vous hais tous, et que vous n’êtes rien…

Ceci est votre définition…
Dans le dictionnaire pathétique qu’est mon esprit aiguisé, sauf rare exception :
Vous n’êtes ''
rien" : néant, vide, que dalle, nada, nothing, une absence d’existence ; une espèce de vide physique, psychique et psychologique. Le résultat de mon indifférence plus que totale envers votre être. Rien ! J’ai rien contre vous, c’est juste que j’en ai rien à foutre.

Comment vous expliquer, à votre échelle rien, c’est comme les quatre millions de gens qui crèvent de faim dans le monde chaque année ; ou encore les quarante milles enfants qui crèvent comme des merdes chaque jours du sida ; mais encore les six ou sept trous du cul inconnus qui décident de décéder, toutes les secondes. Dont vous n’avez strictement rien à foutre.

Je ne vous jette pas la pierre, moi je m’en branle encore plus !

Après tout ils ne sont rien.

Un type a dit que l’essence présidait l'existence, moi je suis l’empereur du feu, parce que je vous ai cramé. Des cendres il ne reste rien.

Mais il est vrai que ces quatre lettres peuvent souvent représenter un nombre incalculable de choses, c’est comme un truc.

''
Rien'' c’est votre jambe qui tient plus de la biscotte écrasée, que du bout de chair qui, aidée par sa jumelle, vous permet de vous trainer dans votre train-train quotidien…
En effet, après un accident de la route, ayant provoqué un carambolage sur trente cinq kilomètres, quatre milles huit cent soixante sept véhicules déclassés., la chute d’un avion, l’explosion atomique d’une station service et le déraillement d’une chaine d’un vélo (celui du pauvre cycliste dont le cerveau est étalé sur cent mètres) ; lorsqu’une âme charitable vous posera la douce et mielleuse question que tous les abrutis sans cerveau posent dans ce genre de situation, qui est :
‘’ Ca va t’as rien ?’’

Tout être humain ridiculement constitué répond : ‘’Ca va c’est rien…’’
Car soit la douleur le rend plus idiot qu’il/elle ne l’était déjà, soit c’est une forme de courage ridiculement stupide…

Ou encore mieux, ''
rien'' c’est les plaies sanguinolentes sur vos poignets, résultat du processus par lequel le couteau a confondu votre saucisse, avec vos veines, ou mieux encore, paranoïaque, vous avez confondu le vert de vos veines avec un martien s’étant infiltré en vous.
En effet après avoir pris la charmante décision de repeindre votre salle de bain d’une agréable couleur pourpre ; suite à un nième refus de Brad Pitt pour vous faire un enfant.
Vous jolie, mais boutonneuse, ou moche et boutonneux (dans ce cas je comprends encore mieux le refus de Brad Pitt : Si tu as un truc qui pends entre tes jambes, ca t’empêche d’être enceinte connard !)
Vous répondrez aux indiscret s’intéressant à
ces larges ouvertures, désignant les portes de votre vous profond :
‘’Oh ca, c’est rien’’

Mais ''
rien'', peut aussi désigner, l’état légume du grand père à l’hôpital pour soulager, les esprits de vos abrutis de gosses, frères, sœurs, cousins, neveux, nièces, filleules, animaux de compagnies,…
Quand un gosse demandera d’une voix puant la naïveté, comme le doux visage ingénu de ce monstre de Casimir.
‘’Pourquoi il bave partout grand père ?’’
L’adulte en vous, répondra d’un air dégagé et naturel :
‘’Oh c’est rien…’’

Dc ''
rien'' ne peut représenter un acte, un état mais tout aussi bien des choses, des gens,…

Quand votre femme, mari découvre que vous le trompez avec sa mère/père (belle mère/beau père ; pour le trompé, je ne fais pas dans le dégueulasse non plus !)
Et qu’il vous demande :
Ce que (br) [f]outais son parent, avec vous et ce que vous foutiez avec votre bouche au niveau de son sexe…
L’accusé, trompeur, répondra naturellement, avec certitude et confiance qui plus est :
‘’Oh rien t’inquiète…’’

Voila ce que vous êtes.

Ou encore lorsque je marche dans une grosse merde sur la rue laissé par un animal canin, castré si je le trouve, badigeonnant mes chaussures jusqu’aux lacets, lorsqu’un curieux me demandera ce que c’est, je répondrai :

‘’Rien t’inquiètes’’

Dès lors, cher rien, chère rien.
Inutilité en croissance démographique que vous êtes.
Je vous hais.
Oh ne voyez pas la une sorte de distinction par rapport aux autres dix milliards d’être humain…
Je vous hais parce que vous êtes vous…
Vous êtes vous pour vous et l’humanité.
Et rien pour moi et mon intimité…

Je vous hais parce que vous prenez de la place sur ma planète.

Je vous hais parce que vous avez une plus belle voiture que la mienne.

Je vous hais parce que vous avez plus d’argent que moi.

Je vous hais parce que vous êtes plus beau que moi.

Je vous hais parce que vous consommez mon oxygène.

Je vous hais parce que vous êtes hypocrite.

Je vous hais parce que vous provoquer des bouchons sur l’autoroute parce que vous ne savez pas conduire et que vous allez vous encastrez avec bébé et mémé dans la berne centrale.

Je vous hais parce que vous augmentez la population mondiale et le taux de malade atteint du sida, parce que vous baisez comme des lapins sans capotes.

Je vous hais parce que vous m’emmerder à faire remonter mon ascenseur pour votre étage à la place de descendre au miens et de prendre les escaliers.
Je vous hais, parce que vous me faites perdre mon temps dans la file du supermarché.
Je vous hais parce que votre bonheur m’écœure.

Je vous hais parce que votre gueule me dégoute.

Je vous hais parce que vous aimez entrainerait le fait de vous connaître, et j’en ai ni l’envie ni le temps.
Je vous hais parce que votre chien chie devant ma baraque.
Je vous hais parce que vos enfants chialent toute la nuit.
(Ou inversement : vos chiens chialent toute la nuit, et vos gosses chient devant ma baraque)
Je vous hais parce que, j’ai mal, mais aussi parce que j’ai compris que l’humanité était stupide, et ne sciait pas que la branche sur laquelle elle était assise, mais aussi le tronc de l’arbre et le bras du voisin pour être sur d’être le premier a tombé.
Je vous hais parce que c’est drôle.
Je vous hais parce que je n’aime que moi.

Je vous hais parce que je suis égocentrique.

Je vous hais parce que c’est comme ca !
Du coup je préfère mon auto destruction, mon ironie mon cynisme.

Je me fous en l’air moi-même, ca évite ainsi de me casser les couilles en de vaines et ridicules prises de tête avec vous.

Et au fait, pour votre information.
Il n'y a rien de plus chiant que moi à part peut-être une flaque de gerbe vieille de quatre jours au relan de vodka, gin et whisky, incrustée dans la moquette, sous la table basse.

Article 1er: Quelques précisions

Premièrement, je ne vous aime pas.


Deuxièmement, je m'en fous de vous, votre avis, votre vie, et tout les autres pathétiques choses qui comblent votre existence du point de départ en l'occurrence: le moment où vous êtes sorti du vagin velu de votre mère, et la ligne d'arrivée en l'occurrence: le moment où vous allez devenir le festin des vers, asticots, mouches, rats et tout autres petits charognards qui viendront se repaitre de votre chair en putréfaction.

Troisièmement, tu n'es pas un putain de flocon de neige, unique et merveilleux. Tu n'es pas irremplaçable, il y a à l'heure actuelle 6 836 671 738 d'êtres humains sur terre, qui sont réciproquement les mains d'œuvre adéquates, machines à reproduction adéquates, ou chair à canon adéquates, dans cette optique, tu n'es en rien unique, irremplaçable, somptueux, sublime et immensément important. Non, tu es plutôt une ridicule fourmi, organisme ayant sa place, dans une machine magnifiquement bien rodée, et de laquelle elle ne se démarquera jamais, de peur des représailles de ses supérieurs et semblables. Tu es un être merdique dans une fourmilière qui se fiche de ton existence. Quand tu perdras la vie (merde où est-ce que je l'ai mise?!) quelques personnes te regretteront une paire d'heures ou de jour si tu as de la chance, mais 6 836 671 700 d'êtres humains n'en auront strictement rien à foutre. Et comme le dit le Grand Livre (des Crétins) tu es né et tu retourneras à ce que tu fus, en un mot: rien. Demande à tes enfants, ou mieux réalise une introspection et interroge toi sur le nom de ton arrière-arrière grand père et sur ce qu'il a fait de sa vie, tu remarqueras après un temps plus ou moins définis qui doit être égale à une fourchette comprise entre deux millièmes et trente quatre secondes, que ça t'emmerde et que c'est inintéressant. Au bout d'une ou deux générations si tu es chanceux, tu tomberas dans un oubli de désintérêt, et la génération suivante se fichera totalement de ton nom et de qui tu étais.

Quatrièmement, vous êtes des décérébrés illettrés. Internet devait permettre la libéralisation de l'information, de la culture, de l'économie, j'en passe des moindres et des meilleurs. On nous avait promis "monts et merveilles", on s'est retrouvé avec maux, et merde-veilles. L'information a permit la psychose, on retrouve des vidéos de musulmans tranchant la tête de journalistes, ou de musulmans promettant de mettre l'Amérique à feux et à sangs, ou des musulmans se faisant traiter faisant disparaitre des bouteilles grâce à l'aide des dits américains. Internet déclenche des paranoïas collectives. Internet fait mourir l'orthographe, la syntaxe et la grammaire à petit feu. Internet vous rend con, ce qui ne fut pas forcément difficile pour la plupart. Internet vous rend fainéant, au jour d'aujourd'hui tout est possible grâce à la websphère: fini la file dans les banques, fini les courses au supermarché, fini la discussion autour d'un verre, fini les contacts humains.Alors vous allez me dire qu'est-ce que internet a apporté à l'homme? Ben un libre accès au porno, en effet plus besoin de se rendre à la librairie, pour des images bidons, maintenant tu as le film!

Cinquièmement, je vous hais et je hais les blogs, alors attendez vous à en prendre plein la gueule.

Je suis un être paradoxal.